Un retrat de premsa complicat.
Quan només arribar a la cita la persona a fotografiar et diu que odia les fotos, que no les facis "a prop" i que de fet ja veurem si es deixa fotografiar, no es pot dir que sigui una situació molt agradable. Així que vaig aplicar el sistema "laisser passer" tranquil·litzant-la i dient-li que no hi havia cap problema, que al final de l'entrevista si ella creia convenient li faria les fotos. Per sort la entrevista va ser llarga e interessant, i probablement el recel de Misia provenia d'alguna experiència anterior dolenta. Així que la cantant de fados es va relaxar i jo vaig començar a buscar enquadraments per la sala de l'hotel Ritz on ens trobàvem. Vaig decidir dos enquadraments, un amb llum natural i una butaca junt a una gran finestra, i el segon en una altre butaca a prop d'una tauleta amb una llum de bombeta i flash rebotat. En el primer faria una foto més oberta i vertical per anar a pàgina i en el segon si ho aconseguia seria un pla mes tancat i horitzontal per el detall.. La vaig fer seure a la butaca que prèviament havia mogut fins allà i vaig fer una prova, en aquell moment Misia va mirar cap a la llum , però clar, jo degut al "efecte digital" estava revisant la foto a la pantalla, però de refilo vaig veure el seu moviment i em vaig atrevir a demanar-li que el repetís. Ho va fer, i vaig fer aquesta foto que , per mi, transmet la candidesa, la melancolia i una certa tristesa, com si hagués fotografiat un fado! La fotografia va sortir publicada al diari ADN el 3 de juliol del 2006 junt amb el detall horitzontal, molt menys suggerent.
Un portrait de presse très compliqué
Quand ou premier moment du rendez-vous pour photographier une personne, elle vous dit qu'elle déteste les photos, de ne pas les faire "de près" et on verra si on les fait ses photos, on ne peut pas dire d'être dans une situation très agréable. J'ai donc appliqué le système de "laisser passer" je l'ai rassure en lui disant que si elle voulait, à la fin de l'interview je ferais les photos. Heureusement, l'interview a été longue et intéressante et les soupçons de Misia venaient sûrement d'une mauvaise expérience antérieure. La chanteuse de fado certainement c'est détendu et j'ai commencé à chercher des encadrements dans la salle de l'hôtel Ritz à Barcelone. J'ai décidé de faire deux cadres, l'un avec la lumière naturelle avec une chaise à côté d'une grande fenêtre et la seconde sur une chaise à côté d'une petite table avec une lampe, et flash indirect. La première photo serait plus ouverte et verticale pour aller à page et la seconde serait un plan horizontal fermé pour le détail. A fin d'assurer j'ai fait la vue d'ensemble d'abord, car j'étais plus loin d'elle. Je l'ai fait s'asseoir dans le fauteuil que j'avais déjà déménagé là-bas et j'ai fait un test, alors Misia leva la tête pour regarder vers la lumière, mais bien sûr dut au '"effet numérique" je révisais l'image dans la caméra, mais du coin de l'oeil, j'ai vu son mouvement et j'ai osé lui demander de répéter. Elle l'a fait et j'ai pris la photo, qui exprime l'innocence, la mélancolie et une certaine tristesse, la photo d'un Fado! La photographie a été publiée dans le journal ADN le 3 juillet 2006, ainsi que le détail, beaucoup moins suggestive.
Un portrait de presse très compliqué
Quand ou premier moment du rendez-vous pour photographier une personne, elle vous dit qu'elle déteste les photos, de ne pas les faire "de près" et on verra si on les fait ses photos, on ne peut pas dire d'être dans une situation très agréable. J'ai donc appliqué le système de "laisser passer" je l'ai rassure en lui disant que si elle voulait, à la fin de l'interview je ferais les photos. Heureusement, l'interview a été longue et intéressante et les soupçons de Misia venaient sûrement d'une mauvaise expérience antérieure. La chanteuse de fado certainement c'est détendu et j'ai commencé à chercher des encadrements dans la salle de l'hôtel Ritz à Barcelone. J'ai décidé de faire deux cadres, l'un avec la lumière naturelle avec une chaise à côté d'une grande fenêtre et la seconde sur une chaise à côté d'une petite table avec une lampe, et flash indirect. La première photo serait plus ouverte et verticale pour aller à page et la seconde serait un plan horizontal fermé pour le détail. A fin d'assurer j'ai fait la vue d'ensemble d'abord, car j'étais plus loin d'elle. Je l'ai fait s'asseoir dans le fauteuil que j'avais déjà déménagé là-bas et j'ai fait un test, alors Misia leva la tête pour regarder vers la lumière, mais bien sûr dut au '"effet numérique" je révisais l'image dans la caméra, mais du coin de l'oeil, j'ai vu son mouvement et j'ai osé lui demander de répéter. Elle l'a fait et j'ai pris la photo, qui exprime l'innocence, la mélancolie et une certaine tristesse, la photo d'un Fado! La photographie a été publiée dans le journal ADN le 3 juillet 2006, ainsi que le détail, beaucoup moins suggestive.
Un retrato de prensa complicado.
Cuando nada más llegar a la cita la persona a fotografiar te dice que odia las fotos, que no se las haga de “cerca” y que de hecho ya veremos si se deja fotografiar, no se puede decir que te encuentres en una situación muy agradable. Así que apliqué el sistema “laisser passer”, tranquilizándola y diciéndole que ningún problema, que al final de la entrevista si ella creía conveniente le haría las fotos. Por suerte la entrevista fue larga e interesante, y el recelo de Misia provenía seguramente de alguna mala experiencia, así que la cantante de Fados, ciertamente se relajó y yo empecé a buscar encuadres por la sala del Ritz de Barcelona. Decidí dos encuadres, uno con luz natural con una butaca junto a un gran ventanal y el segundo en una butaca junto a una mesilla con luz de bombilla y flash rebotado. En el primero haría la foto más abierta y vertical para ir a página y en el segundo si lo conseguía sería un plano más cerrado horizontal para el detalle. Para asegurar la foto hice primero la general ya que estaría más lejos de ella. La hice sentarse en la butaca que previamente había movido hasta allí e hice una prueba, Misia levantó la cabeza para mirar hacia la luz pero claro yo debido al “efecto digital” estaba mirando como quedaba el encuadre, pero por el rabillo del ojo vi su movimiento y me atreví a pedirle que lo repitiera. Lo hizo, y saqué una foto que creo transmite, la candidez, la melancolía, y una cierta tristeza tal y como si hubiese fotografiado un fado! La fotografía salió publicada en el diario ADN el 3 de julio de 2006, junto a la de detalle, mucho menos sugerente.
